Assez d'actes, des paroles!!

mercredi 27 février 2013

McDO : Fuck me You’re Famous




La fausse bonne idée du moment (non, pas le Harlem Shake) est l’ouverture de Franchises Mc Do en Tunisie, avec à la clé « des centaines de création d’emploi ».
Le géant américain de la malbouffe s’attaque donc à de nos rares bastions de souveraineté et de résistance (non, pas l’éducation nationale ni l’armée), notre Bouffe.
Si les Trabelsi et leurs sbires avaient un mérite, c’est d’être trop avides pour permettre l’implantation d’une telle marque en Tunisie sans vouloir leur part du gâteau (ou du Sunday caramel).
Ainsi, a-t-on échappé pendant longtemps à ce rouleau compresseur de la mondialisation triomphante.
Mc Do, énorme machine à fabriquer du clone, à bousculer les us et habitudes alimentaires des peuples et à fabriquer des obèses ( sur ce point, j’avoue que nous n’avions pas besoin d’aide), permettra bientôt à nos gamins américanisés de bouffer la même merde que leurs congénères.
Y’a pas de raison, tout le monde a droit à la médiocrité.
Nivellement par le bas, destructions systématiques des particularismes régionaux, rationalisation à l’infini de la production, standardisation extrême des Burgers, bref, du clonage alimentaire, voici un portrait non exhaustif de cette entreprise !!!!
Oubliés les « zidni mayonnaise » et les «  akther hrissa » ou «  blech zitoun », le burger sera un produit fini à vendre et non un sandwich préparé selon des envies du client.
Le piège se referme sur nous de façon évidente, l’internationalisme wahhabite et le mondialisme Yankee, main dans la main, s’attaquent à notre identité, pour faire de nous un peuple de Kids définitifs, de consommateurs islamisés, limités aux 3M (Mosquée, Mc DO, Masturbation).






3 commentaires:

chipie-chipounette a dit…

j'aime beaucoup le "limités aux 3M" :)

Squizocube a dit…

Ha, une revenante!!!!
Séja que la plupart des gens vivent déja les 2M, ca leur fera pas un grand bouleversement

Unknown a dit…

Pfff naze.
Les pseudo-islamistes auraient pu servir à quelque chose pour une fois, et aller beugler dans les rues "non à l'américanisation, oui aux fricassés".